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Coordination du dossier thématique
Contacts et soumission d'article
« Villes, activités économiques et santé en Afrique »
« Cities, economic activities, and health in Africa »
Sous la Coordination de :
Dr. DIABAGATE Abou, Dr. TRAORE Kinakpefan Michel et Dr. KONATE Djibril
Date limite de soumission : 15 Avril 2022 ; Parution du Numéro : 30 Juin 2022
Selon la 27e édition des estimations et projections démographiques de la division population du département de
l’économie et des affaires sociales des Nations Unies, le 15 novembre 2022 la population humaine mondiale a
atteint les 8 milliards d’habitants (United Nations, 2022). Alors que cette population était estimée à 2,5
milliards d'individus en 1950, aujourd'hui, elle est plus de trois fois supérieure à ce qu'elle était au milieu
du XXe siècle. Elle pourrait atteindre environ 8,5 milliards d'habitants en 2030, puis augmenter de 1,18
milliard au cours des deux décennies suivantes, pour atteindre 9,7 milliards en 2050 selon les scénarios les
plus optimistes (United Nations, 2022).
Cette croissance de la population reste très variée d’une région du monde à l’autre. Pendant que l’Europe
connait une tendance à la baisse de sa population avec un taux d’accroissement en 2021 de – 0,18%, l’Afrique
avec 2,35% enregistre le taux le plus important contre 0,34% pour l’Amérique du Nord, 0,59% pour l’Amérique
Latine, les Caraïbes et l’Asie et 1,25 pour l’Océanie. La croissance démographique mondiale est ainsi portée de
prime à bord par l’Afrique. Dans ces pays africains à forte croissance démographique, l’un des plus prééminents
défis est l’urbanisation rapide de la population. En effet, dans les perspectives de la croissance démographique
mondiale, la population urbaine devrait augmenter de 2,5 milliards de citadins entre 2018 - 2050 et près de 90 %
de cette augmentation sera concentrée en Asie et en Afrique (United Nations World Urbanization Prospects, 2019,
p.1).
Si l’urbanisation et la présence de villes sont un phénomène très ancien en Afrique, il faut souligner à la
suite de P. ANTOINE (1997, p. 4) que « c’est la colonisation qui a impulsé l’urbanisation africaine et lui a
imprimé le caractère qu'elle connaît encore de nos jours ». Elle a favorisé, pour les besoins d’exploitation des
colonies, l’implantation de comptoirs et de postes militaires qui ont constitué les embryons des villes
post-coloniales. Sur ce maigre réseau urbain, va naître une tendance lourde de l’urbanisation du continent à
partir de la deuxième moitié du siècle dernier. Ainsi, la population africaine qui est restée longtemps rurale
sera-telle majoritairement urbaine d’ici 2035 (ONU-HABITAT, 2017, p. 9). Avec un taux de croissance d’environ
3,10%, la proportion des personnes habitant une ville en Afrique atteindra 58,9% en 2050 (UN-WUP, 2019, p. 26).
Cette importante urbanisation n’est toutefois pas une contrainte au développement. Elle reste un gage de progrès
social et de bien-être car l’effet d’agglomération que crée la présence de ville est perçu comme un facteur de
développement. Au fait, comme le rapporte le Groupe de la Banque Mondiale « tant la théorie économique que
l’expérience empirique ont montré que les villes contribuent au développement économique par leur capacité à
créer des effets d’agglomération qui améliorent à la fois la compétitivité des entreprises et le bienêtre des
populations » (GROUPE BANQUE MONDIALE, 2019, p. 15). Selon cette même source « aucune économie n’était passée du
statut de pays à faible revenu à celui à revenu intermédiaire sans une phase d’urbanisation ». L’urbanisation
est incontestablement une composante essentielle de la croissance et la clé pour extraire des populations et des
pays entiers de la pauvreté.
Toutefois, dans les pays africains cette relation entre urbanisation et développement économique et social n’est pas automatique. L’extrême rapidité de la croissance urbaine, alimentée par un solde naturel élevé mais aussi une immigration importante se fait dans un contexte de récession économique et de mise en œuvre des Programmes d’Ajustement Structurel (PAS) à partir des années 1980 (D. PLAT, 2003, p.11). Aussi, dans la plupart des villes africaines la puissance publique du fait de la rareté des ressources financières, n’arrive-t-elle plus à accompagner les populations des villes par des investissements structurants générateurs d’emplois et d’activités économiques structurantes (INS, 2013, p.10). Nous assistons alors à une crise urbaine généralisée.
Cette crise se manifeste par une déstructuration des économies urbaines, une occupation anarchique et
désordonnée de l’espace par les activités économiques qui enlaidissent le paysage urbain (S. TOURE, 2018,
p.292). Dans ce contexte d'explosion démographique et d'intensification des activités économiques, les espaces
ont subi de fortes mutations (A. DIABAGATE et al., 2018 et 2022). Ce sont généralement les phases de dégradation
qui se manifestent par leur régression spatiale et leur altération qualitative sous l'influence de facteurs
naturels mais surtout à cause d'une urbanisation en crise, accélérée, inachevée et marquée par une forte
concentration de la population qui structure l’espace urbain.
Aujourd’hui, suite à ces incivilités urbaines croissantes l’on ne peut que faire le constat du désordre dans les
villes ivoiriennes qui s’apparente à un dysfonctionnement spatial. Ce dysfonctionnement n’est pas seulement
spatial, il est également social et lié à un manque de qualité urbaine et de lisibilité de l’espace qui engendre
non seulement des problèmes environnementaux (C. ROULLET-SUREAU, 2007) mais aussi et surtout des problèmes de
santé des citadins. L’urbanisation ne constitue pas forcément une menace pour la santé des citadins (B. OBRIST,
2006, p.2). Toutefois le développement et le fonctionnement des activités économiques urbaines influencent
clairement de nombreux aspects de la santé et du bien-être des gens (S. GALEA et al., 2005, 1019).
Dans un contexte africain marqué par une urbanisation rapide et une informélisation importante des économies urbaines, ce numéro veut interroger les risques de santé des citadins liés au fonctionnement et au développement des activités économiques. En réalité, la déstructuration des économies urbaines et la crise d’emplois subséquente a donné libre cours à l’entrepreneuriat informel (S. TOURE, 2018, p. 393). Sous la force motrice de la paupérisation, les personnes les plus vulnérables notamment les femmes analphabètes, les déscolarisés, les chômeurs et les fonctionnaires moyens dont les revenus sont étouffés par la hausse généralisée du cours de la vie s’investissent dans le secteur informel représentant entre 20 et 65% du PIB selon le FMI (2017), à travers les activités économiques informelles et artisanales. Les activités de ce secteur constituent le principal pourvoyeur d’emploi dans les villes du tiers monde comme le soutient A. TOURE (1985) : « les petits métiers c’est tout simplement la vie quotidienne de millions d’hommes et de femmes à travers le monde ». Au demeurant, si l’activité économique dans les villes des pays africains n’est pas qu’informelle, ce secteur mal structuré représente plus de 50% de la valeur ajoutée globale du PIB des pays à faible revenu, plus de 80% de l’emploi total et plus de 90% des emplois nouvellement créés dans ces pays (A. A. MBAYE, 2014). Cette situation va entrainer la prolifération et le développement tout azimut d’activités économiques surtout informelles (A. DIABAGATE, 2015, p.62 ; 2020).
En définitive, qu’elles soient formelles ou informelles, industrielles ou artisanales, les activités économiques
dans les villes africaines ont un impact environnemental et sanitaire indéniable. Ces impacts peuvent être
d’ordre biologique, chimique, physique, biomécanique ou psychosocial inhérent aux mauvaises conditions d’hygiène
et de logement, ainsi que la pollution de l’air, de l’eau, des aliments et des sols à l’origine de multiples
incidences sur la santé (BIT, 2021)
Dans le contexte des pays en développement qui prêtent moins attention à la protection de l’environnement, où
les normes environnementales sont souvent inadéquates ou mal appliquées, cet appel à articles vise à questionner
principalement les liens entre les activités pratiquées, leur organisation et leur localisation dans les villes
et les risques de santé encourus par les citadins. Il s’agit d’analyser de façon générale la pratique des
activités économiques dans leur composante comme facteur de risque de santé pour les populations dans les villes
africaines au Sud du Sahara.
Les articles proposés pour ce numéro concernent les contributions sur : les réflexions épistémologiques ou
théoriques et les résultats des études empiriques portant sur six principaux axes thématiques.
Axes thématiques des contributions
Axe thématique 1 : mRéflexions théoriques, méthodologiques, épistémologiques et
politiques des risques de santé
Cet axe thématique s’intéresse aux différentes approches conceptuelles, épistémologique, stratégiques qui
mettent en lumière les relations entre la ville, ses activités et les risques de santé. Aussi, s’articule-t-il
sur des réflexions épistémologiques et théoriques innovantes sur les pratiques d’activités dans les villes et
les risques sanitaires. Les aspects à aborder concernent les méthodes et outils d’évaluation des risques
sanitaires inhérents aux spécificités des villes et à la localisation et au fonctionnement des activités
économiques (la modélisation, la prospective, les atlas et indicateurs de santé, etc.).
Axe thématique 2 :Localisation et organisation spatiale des activités économiques et
risques sanitaires
Cet axe met l’accent sur la localisation, l’organisation des activités économiques sur l’espace. Aussi, cet axe
veut-il comprendre les risques de santé qui émanent de la situation géographique et de l’organisation spatiale
de ces activités. Les différentes contributions vont porter sur le positionnement des activités, les espaces
colonisés ou pris d’assaut, leur mode d’occupation de l’espace et les effets sanitaires qui en découlent.
Axe thématique 3 : Activités économiques, pollution environnementale et risques de
santé
Cet axe met en relief les activités économiques nonobstant sa nature et sa spécificité. En outre, cet axe,
au-delà des activités économiques, s’intéresse à l’aspect environnemental des activités et surtout des risques
sanitaires ou de santé qui en découlent. La santé et le bien-être de l’homme dépendent profondément de la
qualité de son environnement. En effet, la pratique des activités économiques peut influencer négativement ou
positivement le bien-être des populations en milieu urbain. Ainsi, les contributions sur cet axe pourront mettre
l’accent sur l’embellissement des cadres de vie et bien-être des populations. Elles pourront aussi aborder les
activités agricoles, la dégradation des espaces verts, les étangs et cours d’eau en milieu urbain sur le
bien-être des citadins ; les risques sanitaires liés à la pollution de l’eau, de l’air dus aux activités
humaines.
Axe thématique 4 : Gouvernance, structuration urbaine et risques de santé
Cet axe thématique veut mettre en exergue les risques de santé qui émanent de la gestion de l’espace, de la
trame, de l’organisation ou de la structuration urbaine. En effet, dans les villes africaines, la santé est mise
à mal du fait du foncier et de l’urbanisation non maîtrisés. Ainsi, les populations sont soumises à plusieurs
problèmes de gestion notamment d’assainissement, de gestion des déchets, de surpopulation, de pollution de
l’air, de l’eau, des sols, etc. Les contributions sur cet axe aborderont l’extension du cadre de vie urbain et
les risques sanitaires (croissance urbaine et accès aux services de santé, inaccessibilité à l’eau potable liés
à l’extension spatiale importante des villes, etc.) auxquels sont exposées les populations de la périphérie
urbaine, la surpopulation dans les habitats et agglomérations, la prolifération des déchets ménagers (déchets
solides ou liquides), le désordre, la dégradation du cadre de vie, de la trame urbaine et les risques
sanitaires. Les contributions attendues vont porter sur le mode de gestion des espaces urbains convoités par les
activités, sur la structuration des espaces pris d’assaut par les activités et des risques de santé encourus.
Axe thématique 5 : Activités économiques et risques de santé dans un contexte de
changements globaux
Les effets des changements climatiques ont pour conséquences de profonds bouleversements socio-économiques et
environnementaux. Ces bouleversements concernent les précipitations caractérisées par des séquences
d’inondation, de sècheresse prolongée, de fortes températures et une fréquence élevée des vents violents. La
ville à l’image de ces activités et de sa population sont vulnérables aux conséquences des effets des
changements climatiques. Les contributions vont s’atteler à mettre en lumière, les risques de santé ou
sanitaires qui résultent des activités économiques dans le contexte des changements globaux (pluie, inondation,
sécheresse, famine, etc.).
Axe thématique 5 : Quelles perspectives pour des activités économiques durables et
saines dans les villes africaines ?
Dans cet axe, il sera question de proposer des alternatives pour une maîtrise durable et saines des activités
économiques dans les villes africaines. Cet axe cherche à regrouper des textes sur des interventions ou actions
innovantes durables, utilisant des données probantes pour améliorer le cadre (environnemental, économique,
politique, culturel, etc.) dans lequel se déroule les activités économiques en ville en vue de prévenir les
risques sanitaires.
VARIA
Chaque Numéro de la RETSSA contient une rubrique varia. Ce dernier axe thématique s’inscrit dans cette
tradition. Il s’ouvre donc à diverses contributions qui ne sont pas forcément en lien avec la thématique traitée
dans ce Dossier
Chaque numéro de la RETSSA est accompagné de la rubrique varia. Les articles publiés dans cette rubrique
s’ouvrent à diverses contributions qui ne sont pas en lien avec la thématique traitée dans ce dossier (voir
les différentes rubriques de la revue RETSSA pour plus d’information : www.retssa-ci.com).
Les contributions doivent se conformer scrupuleusement aux normes éditoriales de la RETSSA .
Les instructions aux auteur.e.s sont disponibles en ligne :
http://www.retssa-ci.com/index.php?page=auxauteurs
Coordination du dossier thématique
Ce Dossier Thématique est coordonné par :
- Dr DIABAGATE Abou , Maître de Conférences, Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan (Côte d’Ivoire),
E-mail : Aboudiaba76@yahoo.fr
- Dr. TRAORE Kinakpefan Michel , Maître-Assistant Université Lorougnon Guédé de
Daloa (Côte d’Ivoire), E-mail : Traoremichel50@gmail.com
- Dr. KONATE Djibril , Maître-Assistant, Université Peleforo Gon Coulibaly de Korhogo (Côte d’Ivoire),
E-mail : konatedjibson@yahoo.fr
Contacts et soumissions d'articles
Les propositions d’articles complets sont à envoyer au secrétariat permanent de la revue ( rev.tssa@gmail.com ) contre un accusé de réception.
Pour vos contributions et questions, veuillez contacter les responsables du Dossier Thématique ci-dessus.
Abou DIABAGATE (2020), l’Invasion des activités informelles à Cocody : cas des stations de lavage auto au Dokui (Abidjan, Côte d’Ivoire, In RILASH, Revue Ivoirienne des Lettres, Arts et Sciences Humaines, N°47, Décembre 2020, CREP-ENS Abidjan, ISSN 2071-8705, pp.168-181.
ANTOINE Philippe (1997), "L’urbanisation en Afrique et ses perspectives", Aliments dans les villes, FAO, pp. 1-21.
COULIBALY Yaya, DIABAGATE Abou, COULIBALY Amadou, (2017), L’apport de la « ferraille » dans l’essor d’Abobo à Abidjan (Côte d’Ivoire), in AHOHO, Revue de Géographie du LARDYMES, Université de Lomé, N°19, 11è année, Décembre, ISSN 19933134, pp. 73-82.
DIABAGATE Abou (2019), Le rond-point d’Adjamé liberté : un centre commercial ouvert (Abidjan, Côte d’Ivoire), in RGLL, Revue de Géographie du Laboratoire Leïdi, Dynamique des territoires et développement, Université Gaston Berger, Sénégal, N°22, Décembre, ISSN 0851-2515, pp. 128-141.
DIABAGATE Abou (2015), Le tronçon Agban-carrefour zoo à Abidjan : une galerie marchande à ciel ouvert, in Geotrope, Revue de Géographie Tropicale et d’Environnement, 2015, EDUCI, n°2, ISSN 1817-5589, pp. 110-117.
DIABAGATE Abou et al. (2022), Colonisation des axes routiers par les activités économiques dans les quartiers résidentiels d’Abidjan : cas de l’axe Dokui-Mahou à Cocody », in Actes du Colloque International sur « La gouvernance à l’ère des changements globaux : situation, résilience et défis en Afrique », organisé par le FONSTI et le PASRES, les 28, 29 et 30 Juin 2022 à Yamoussoukro, Tome 1, Axe 1, RSS-PASRES, PASRES EDITIONS, ISBN 979-10-93066, pp. 163-176.
DIABAGATE Abou, COULIBALY Amadou, DINDJI Médé Roger (2018), Le commerce de bois sur le tronçon Dokui-Abobo Samanké : entre désordre spatial et enjeux économiques, in actes du colloque international « Ville et Développement en Afrique subsaharienne », Mélange en l’honneur du Professeur émérite Bénoît N’BESSA, (Dir) Léon Bani BIO BIGOU, Tome 2, quatrième partie « fonctions urbaines en Afrique subsaharienne », Décembre, LEDUR, ISSN 978-99919-0-000-1, pp. 138-152.
DIABAGATE Abou, WADJA Jean-Bérenger, COULIBALY Sam Alhassane, ATTA Koffi (2018), Tronçon Agban-Carrefour zoo et activités de mécanique automobiles à Abidjan, in Actes du colloque international « Géographie et Développement » en hommage au Professeur HAUHOUOT Asseypo Antoine HAUHOUOT, (Dir) Téré GOGBE, Mamoutou TOURE et CélineYolande KOFFIE-BIKPO, Tome 2 « Urbanisation et Développement », Décembre 2018, L’Harmattan Côte d’Ivoire, ISSN 978-2-343-14220-3, pp. 131-143.
DIABAGATE Abou, DAGNOGO Foussata, KONATE Djibril (2017), La Commune du Plateau à l’épreuve du commerce informel : des fruits à côté des tours, in TSE, Revue Scientifique semestrielle Territoires, Sociétés et Environnement, Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université de Zinder au Niger, N°009, Presse Universitaire de Zinder, N°009, Décembre, ISSN 1859-5103, pp. 93-105.
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Villes, activités économiques et santé en Afrique
Numéro spécial VARIA
Méthodes et outils géospatiaux dans l’analyse des problèmes de santé
Mobilité, transports et santé en Afrique
Mutations environnementales et risques sanitaires en Afrique
Santé maternelle, néonatale et infantile en Afrique: Analyse de la situation et perspectives
Système alimentaire urbain et santé en Afrique
Education, santé et bien-être en Afrique
Migration et santé en Afrique subsaharienne
La santé dans le monde rural
Dynamiques spatiales, sociales, territoriales et santé en milieu urbain
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